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23 octobre 2013 3 23 /10 /octobre /2013 12:07

C’est désormais officiel, notre Cité va accueillir une nouvelle fois l’une des plus grandes fêtes sportives et médiatiques planétaires. Le dimanche 20 juillet, en fin de journée, Nîmes sera l’écrin aux yeux du monde de l’arrivée des cyclistes, des équipes techniques et de la fameuse caravane. Comme en 2004 et en 2008, cet événement sera l’occasion d’organiser une fête populaire, tout en valorisant Nîmes, son patrimoine, son art de vivre, ses traditions et ses produits du terroir.

 

Comme de nombreux Nîmoises et Nîmois, je me réjouis pleinement que notre candidature ait été retenue par les organisateurs de la Grande Boucle.

 

Cette nouvelle démontre encore une fois notre amour local pour le cyclisme, mais aussi notre volonté de dynamiser, au beau milieu de l’été, notre cœur de ville, puisque de nombreuses animations seront proposées. Ainsi, l’annonce du passage de ce grand rendez-vous est aussi une aubaine en terme de développement économique pour notre territoire.   

 

Avec ce nouveau passage du Tour de France, pour lequel je me suis fortement impliqué,  Nîmes mérite pleinement son accent sportif. 

Published by jean-paul fournier - dans Engagements
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21 octobre 2013 1 21 /10 /octobre /2013 17:20

Le Président de la République a prouvé une nouvelle fois, le temps d’une intervention télévisée, qu’il n’avait décidemment pas les épaules pour diriger notre pays. Lui qui voulait éteindre l’incendie de « l’affaire Leonarda » n’a fait que l’attiser. Lui qui voulait prouver qu’il était le chef du gouvernement, est devenu la risée de l’Europe.

 

Tantôt décrié, tantôt humilié, François HOLLANDE le mal-aimé trône sur un piédestal fissuré, proche de l’effondrement. « L’affaire Leonarda », comme il convient de l’appeler, est aujourd’hui une affaire d’État résumant à elle seule les 18 premiers mois de présidence : indécision, manque de cap, manque de crédibilité et courage.

 

L’amateurisme dont fait preuve François HOLLANDE traduit un profond déni du Président pour les institutions du pays. Ce fait du prince me conduit, malheureusement, à me questionner sur le crédit à accorder au roi HOLLANDE qui, à défaut de garantir la loi, s’assoit dessus lamentablement. A travers cet aveu de faiblesse, François HOLLANDE ouvre grand les portes de la France et, par la même occasion, celles de l’immigration.

 

A vouloir faire plaisir à tout le monde à chercher en permanence la synthèse comme il le faisait en tant que Premier secrétaire du Parti Socialiste, François HOLLANDE ne porte toujours par les habits de Chef de l’État et mécontente l’ensemble des Français qui ne se reconnaissent plus en celui qui voulait être “ Président de tous les Français “. Aujourd’hui, François HOLLANDE n’est pas Président de la République mais chef des couacs en série, chef sans cap ni autorité.

Published by jean-paul fournier - dans Point de vue
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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 16:36

Lors du Conseil Communautaire de Nîmes Métropole qui s’est tenu hier soir, j’ai formulé un vœu, adopté à l’unanimité, en faveur du maintien de l'école des Mines d'Alès sur le site de Nîmes.

 

J’ai ainsi appelé la Chambre Régionale de Commerce et d’Industrie du Languedoc Roussillon à revenir sur son désengagement financier. Dans l’hypothèse où la CRCI confirmerait  sa démarche, et à cette seule condition, les élus communautaires expriment leur intention de soutenir le maintien du site nîmois. Ainsi, la Communauté d’Agglomération est prête à contribuer, avec ses partenaires, à hauteur de 150 000 € supplémentaires, venant s’ajouter aux 50 000 € déjà versés dans le cadre de sa politique de développement de filières innovantes.

 

En outre, et en réponse à l'appel d’Henry DOUAIS, Président de la CCI de Nîmes, les élus de l’agglomération réaffirment l'exemplarité de la double implantation Alès-Nîmes dans le cadre du Pôle Métropolitain  et en appellent aux autres collectivités pour sauver les activités et les emplois de l’EMA sur le site de Nîmes, catalyseurs de développement économique.

 

Ce vœu a également pour conséquence de demander au Conseil Général et au Conseil Régional de renforcer leur contribution financière pour sauver cette antenne.   

Published by jean-paul fournier - dans Engagements
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11 octobre 2013 5 11 /10 /octobre /2013 18:02

Suite au reportage diffusé au journal télévisé du mercredi 9 octobre 2013, à 20 heures, dans lequel la fiscalité locale à Nîmes été évoquée, j'ai adressé une demande de rectification à Cyril AUFFRET, rédacteur en chef de la rédaction. Face à l'absence de réponse de sa part, veuillez retrouvez ci-dessous l'intégralité du courriel :  

 

« Monsieur le rédacteur en Chef,


Au journal de 20 heures d'hier, mercredi 9 octobre, vous avez diffusé un sujet sur la fiscalité locale. En ouverture, le présentateur indique « toutes les communes de droite et comme de gauche ont forcé l’addition. »


Dans le sujet, vous annoncez  une hausse de 14.6% de la taxe foncière à Nîmes tout en omettant de préciser que cette hausse est due à une progression de + 90,6% du taux de la part régionale de la taxe sur le foncier bâti votée par la majorité socialiste du Conseil régional entre 2004 et 2010 d’une part et d’une hausse de +70% du taux de la part départementale votée entre 2001 et 2013 par la majorité de gauche du Conseil Général du Gard d’autre part . (Sans oublier d’ailleurs également l’évolution des bases décidée unilatéralement par l’Etat et à laquelle les municipalités sont étrangères).
 
Plus grave, l’auteur du reportage a volontairement coupé la partie de l’interview dans laquelle je rappelais que depuis mon élection il y a 12 ans, la ville n’avait pas augmenté ses taux d’imposition, Nîmes étant une des rares villes de France pouvoir afficher 0% d’évolution de ses taux de fiscalité depuis 2001. Ces éléments sont objectifs et absolument vérifiables pour qui s’en donnerait la peine.

 
Suivant le même procédé qui consiste à arranger la réalité, votre journaliste accrédite la thèse que la ville aurait procédé à une hausse de la fiscalité car, je cite « la ville manque de recette » ce qui est scandaleusement mensonger puisque, ainsi que je l’indiquait dans la partie tronquée de l’interview, durant la même période, entre 2001 et 2012, la dette communale est passée de 297,7 millions d’euros à 212 millions d’euros, ce qui représente une réduction de près de 30% (28,8% pour être précis).

 

Nous avons donc effectivement fortement investi dans notre ville, mais sans augmenter les impôts tout en réduisant le recours à l’emprunt, ce qui d’ailleurs, soit dit en passant n’a pas été le chemin emprunté, à en croire votre reportage, par le Maire PS d’Argenteuil ! Nous ne pouvons laisser passer cela d'autant que l'interview accordée hier était complète sur ces éléments qui de ce fait ne pouvaient être ignorés de votre journaliste.


Je vous demande donc d’avoir l’honnêteté intellectuelle de reconnaître qu’il y a eu une présentation biaisée de la situation réelle qui ne pouvait qu’induire les téléspectateurs en erreur et de bien vouloir apporter la rectification qui s’impose au journal télévisé du 20 heures de ce soir. Je reste à votre entière disposition pour toute information complémentaire qui vous semblerait utile. Dans l’attente, je vous prie de croire, Monsieur le rédacteur en Chef, en l’expression de mes salutations distinguées. »

Published by jean-paul fournier - dans Réactions
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3 octobre 2013 4 03 /10 /octobre /2013 18:06

Il y a un quart de siècle, la Ville de Nîmes a vécu l’épisode le plus tragique de son histoire récente. Celles et ceux qui ont pu à l’époque assister au déluge du 3 octobre et aux inondations qui ont suivi, aujourd’hui se souviennent. Chacun peut, très exactement, se remémorer de son activité lors de ce jour funeste et des scènes impressionnantes que la folie de l’eau a engendrées. Nîmes n’était qu’un amas de boue, de déchets en tous genres, dont de nombreuses automobiles désossées qui avaient été déplacées par l’élément déchaîné.

 

Sur l‘avenue Pompidou, dans le quartier Richelieu, aux abords des quais de la Fontaine, dans l’Ecusson, sur la route d’Alès, le spectacle de la désolation était total. Rares les quartiers de notre Cité qui ont été épargnés. Au-delà des nombreux dégâts matériels, nous ne devons jamais oublier que des Nîmoises et des Nîmois ont perdu la vie lors de cette catastrophe. Aujourd’hui, nous devons rendre hommage à leur Mémoire.

 

Mais de cet épisode tragique est née une réelle fraternité entre Nîmois et une immense solidarité venue de France et de l’extérieur. Les aides, les secours et les soutiens sont venus de toute part, faisant de Nîmes la capitale éphémère de l’humanisme. Pendant plusieurs semaines, les bonnes volontés très nombreuses se sont retroussées les manches, pour redonnées à la ville ses aspects urbains.

 

25 ans après, ce drame ne laisse personne insensible. « Plus jamais ça » est le refrain, que beaucoup, moi le premier, avons à la bouche. Depuis de nombreuses années, les programmes de protection, dont le programme CADEREAU, très lourd à mener, ont pour but de réduire les conséquences de potentielles inondations sur notre Cité. Nous devons éviter d’autres désastres. Ce chantier est le premier des grands travaux nîmois. Aujourd’hui, avec l’aménagement du cadereau d’Alès, la quasi-totalité de l’ouest de notre territoire a vu sensiblement se renforcer sa protection. Demain nous devrons absolument faire la même démarche pour l’est et le secteur de la route d’Uzès. C’est un engagement lourd, mais que nous devons tenir de manière impérative. C’est la condition sine qua non pour protéger Nîmes d’un nouveau traumatisme.     

Published by jean-paul fournier - dans Réactions
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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 16:59

Oubliant de rappeler les nombreuses radiations qui se sont opérées durant le mois d'août et l'effet des emplois saisonniers dans un pays aussi touristique que la France, le gouvernement Hollande s’est récemment réjoui d’avoir enfin inversé la courbe du chômage.

 

L’euphorie passagère retombée, voilà que la réalité refait surface : un bug de l’opérateur de téléphonie SFR serait à l’origine de cette incroyable chute. Les chiffres du mois de septembre, qui seront prochainement publiés, devraient malheureusement rappeler à François HOLLANDE l’échec cuisant de sa politique en la matière.

 

Car oui, Monsieur le Président, ce n’est pas en mettant à contribution l’ensemble des Français, qui paient le prix fort de votre politique brouillonne et sans cap, que vous relancerez l’activité de notre pays ! Vous qui vouliez redonner du pouvoir d’achat aux français êtes en train de les asphyxier d’impôts ! Vous qui vouliez être le président de tous les Français, êtes en train de mener une politique injuste déstabilisant nos entreprises et sapant le moral des classes moyennes !

 

Monsieur HOLLANDE, cessez donc votre acharnement quotidien contre ces français qui travaillent et paient des impôts ! Arrêtez de lancer encore et toujours de nouveaux dispositifs de création d’emploi public que vous financez par une hausse immodérée des impôts ! Dans votre naufrage, vous entrainez la France et l’ensemble des Français !

 

L’ancien artisan, chef d’entreprise que je suis vous invite vivement à alléger les charges patronales et à proposer une vraie sortie de crise aux petites et moyennes entreprises qui, jusqu’alors, n’ont vu des signes de relance que dans vos paroles… auxquelles, malheureusement, plus personne ne croit !

Published by jean-paul fournier - dans Humeurs
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Jean-Paul Fournier