Aujourd’hui, 30 novembre, c’est avec une certaine fierté que j’ai reçu, des mains de Benoist APPARU, secrétaire d’Etat au logement, le prix « Requalification urbaine » de l’appel à projet EcoQuartier 2011.
En effet, l’aménagement du quartier Hoche-Sernam vient d’être primé parmi 393 dossiers au Palmarès National de l’appel à projet EcoQuartier 2011 du Ministère de l’Ecologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement, en recevant le Prix de la Requalification Urbaine au Palmarès des Territoires Stratégiques. Le ministre à d’ailleurs indiqué que, je cite, « le projet Hoche Sernam a été primé parce qu'il fait partie des rares projets qui privilégient autant l'humain que l'urbain »
Ce projet est considéré comme une opération d’aménagement durable exemplaire car il répond aux grands enjeux auxquels est confronté le territoire de l’Agglomération Nîmoise et contribue à améliorer la qualité de vie tout en répondant aux enjeux de demain, à savoir la gestion de la croissance urbaine, le respect de nos paysages et de nos précieuses ressources. Ce projet est exemplaire à plus d’un titre puisqu’’il permet de :
Þ Reconstruire la ville sur elle-même, sur 20ha en plein est du cœur de ville, sans consommer d’espaces naturels ou agricoles.
Þ Intégrer de manière innovante la problématique inondation avec la création d’espaces publics assurant l’écoulement des eaux durant les orages et réintroduisant la nature en ville.
Þ Aménager un cadre de vie propice à la mixité des populations et des usages, avec 1000 logements dont 25% de logements sociaux, un bâtiment et un campus universitaire, des bureaux, des commerces.
Þ Recycler et préserver un patrimoine du 19ème siècle avec la transformation de l’ancien hospice en université.
Je tiens à partager, avec l’ensemble des Nîmoises et Nîmois ce prix qui démontre, à travers cette démarche, notre ambition commune en matière la qualité de vie pour.
Aujourd’hui, Nîmes et les aficionados du monde entier se souvienent. Il y a 20 ans, celui qui reste encore le plus grand torero de l’histoire de la tauromachie française, Christian MONTCOUQUIOL, disparaissait. Lui qui avait pris le surnom très symbolique de Nimeno II, en l’honneur de sa ville, a marqué à jamais la pratique tauromachique.
Les 4ème