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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 22:04

En matière d’irresponsabilité, décidément on pensait en avoir déjà vu beaucoup depuis mai dernier, avec des séries de décisions contre la France, son économie, ses emplois, ses entreprises, ses décideurs avec cette folie taxatrice portée par la loi de finances au moment où les Français peinent à boucler les fins de mois :

 

-          Avec l’augmentation du nombre de fonctionnaires au moment où les finances de l’Etat demandent de poursuivre les efforts engagés,

-          Avec la promesse du droit de vote aux étrangers quand les coups de boutoir contre la cohésion nationale sont chaque jour plus forts,

-          Avec le droit d’adoption qu’ouvrira le mariage hommosexuel au moment où la famille et l’enfant doivent être plus que jamais protégés.

 

Mais entendre le ministre de l’Education nationale, sensé plus que tout autre de veiller à l’intégrité de notre jeunesse, proposer, comme avenir, la dépénalisation du cannabis……..alors que l’on sait que les dealers ont, dans une main du cannabis et dans l’autre de la cocaïne ou de l’héroïne et qu’il n’y a pas de drogue « douce ». Trop c’est trop , il faut vite, vite, que la parenthèse se referme et que le socialisme parte en fumée.

 

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13 octobre 2012 6 13 /10 /octobre /2012 11:55

L’Union nationale de la Propriété industrielle (UNPI) vient de rendre public un rapport très détaillé intitulé « Observatoire des taxes foncières », qui fait un bilan global de ce taux d’imposition sur les propriétés bâties et son évolution entre 2006 et 2011. De manière générale, cette étude démontre qu’entre 2006 et 2011, l’évolution a été relativement forte au niveau national, avec 21 % de hausse, mais également au niveau départemental, puisque dans le Gard, la hausse atteint 29,49 %. Sachant que dans ce même laps de temps, l’évolution des prix, hors tabac, et des loyers, dépasse légèrement les 8 %, on comprend que ces hausses ont bien pesé sur le pouvoir d’achat des Françaises et des Français.

 

Durant cette période, l’étude le démontre, la hausse n’a été que de 9,43 % pour la Ville de Nîmes, qui correspond à la seule majoration légale des bases d’imposition décidée par l’Etat. C’est la troisième plus faible hausse du département du Gard, après Rochefort du Gard et Mars !

 

Cela confirme, de manière objective, ma volonté de reconduire chaque année, depuis 11 ans, le même taux pour la part communale, comme on peut le lire sur les feuilles d’imposition. Ainsi, la hausse que les contribuables ont pu ressentir est bien la conséquence, depuis 2006, des choix politiques des autres collectivités, du Conseil général et du Conseil régional, dans un premier temps, puis, du seul Conseil général, dans un second temps.

 

Avec 31,05 %, le taux de la part communale de la Taxe foncière sur le foncier bâti reste, je le conçois, important. Je dois toutefois souligner que de nombreuses communes, dans le Gard, mais également en France, ayant fait le choix de l’augmentation des taux, nous rattrapent et même nous dépassent largement.

 

Ma volonté de geler, depuis 2001, le taux d’imposition, doit être d’autant plus soulignée, qu’elle a permis de réduire la dette communale de près du plus de 80 millions d’euros, la faisant passer de 290 millions à 210 millions d’euros, tout en effectuant de nombreux investissements, pour permettre le développement, à long terme, de la Ville et de l’agglomération. D’ailleurs, je souhaite indiquer que la création de Nîmes Métropole ne s’est pas accompagnée, comme la loi me l’autorisait, par la création d’un impôt nouveau.

 

Ainsi, l’étude de l’UNPI, met indirectement en lumière, des décisions politiques de l’équipe municipale que j’ai l’honneur d’animer et mes choix de gestion, que l’on peut qualifier de « bon père de famille ».

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26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 10:11

Jusqu'à vendredi dernier, les imbéciles qui souillaient la statue de Nimeño II faisaient un affront à la représentation du courage, de la noblesse. Ils montraient le peu de cas qu'ils faisaient du créateur qu'est le torero. Et ils s'en prenaient à une œuvre d'art en tant que telle puisque la statue réalisée par Séréna CARONE est un bien culturel public.


Depuis Vendredi dernier, après que les différentes formes de tauromachies aient été inscrites au Patrimoine immatériel de la France, et dès l'instant où le Conseil Constitutionnel a solennellement reconnu le caractère légal de la corrida, ceux qui ont encore commis une agression contre la statue de Nimeño II ne deviennent que plus délinquants et coupables.
La Ville de Nîmes a évidemment déposé plainte contre ceux qui viennent de récidiver.

 

Il faut, depuis la décision des Sages du Palais Royal, que les anti-corridas comprennent enfin combien les actes répréhensibles qu'ils commettent prennent un nouveau relief, les exposant très vigoureusement à des peines sévères.

 

Désormais, s'attaquer lâchement à une œuvre d'art incarnant la tauromachie entraînera l'application doublement rigoureuse des textes qui stigmatisent le vandalisme et le déni de la chose jugée, ce qui ne fera que démultiplier le mépris dans lequel nous flétrissons les auteurs de ces actes.

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21 septembre 2012 5 21 /09 /septembre /2012 14:26

Les Sages du Palais Royal ont donc jugé que la tauromachie était conforme avec le texte le plus fondamental de la République, à savoir la Constitution de 1958. Nous sommes dans un Etat de Droit et cette décision s’applique à tous.  

 

C’est avec fierté, mais aussi modestie, que je prends acte de cette sentence définitive du Conseil constitutionnel.

 

Fierté, car elle donne une nouvelle dimension à la corrida. Celle-ci est donc reconnue par la plus haute juridiction française comme une expression artistique dans les régions, comme la nôtre, où existe une tradition ininterrompue.

 

Modestie, car je ne veux pas alimenter le débat stérile avec les associations anti-taurines, qui n’ont plus, désormais, aucun artifice juridique pour arriver à leur fin. Je leur demande tout simplement de respecter la loi républicaine.

 

Plus largement, ce jugement est une très bonne nouvelle pour toute la filière taurine française, mais aussi pour les nombreuses Communes, comme Nîmes, qui organisent des manifestations taurines. C’est également une grande nouvelle pour les aficionados, dont je fais bien sûr partie, qui pourront continuer à célébrer cet art majeur, dont José TOMAS a donné la plus pure expression de toute l’histoire de la tauromachie, dimanche dernier, dans les arènes de Nîmes. 

 

J’ajoute que la décision de la plus haute juridiction française permet de garantir la survie de la race des taureaux de combat. Une interdiction aurait directement menacé la survie du toro bravo. Dernier aspect, et pas des moindres, en ces temps de récession, celui des retombées économiques des Férias, qui sont fort heureusement préservées.   

 

Pour résumer, les associations anti-taurines sont dans la position de l’arroseur arrosé. Leur démarche conforte indirectement l’organisation des corridas en France. Rien que pour cela, et avec un brin de provocation, il faudrait les en remercier : « INDULTO ! »      

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13 septembre 2012 4 13 /09 /septembre /2012 10:26

Le Conseil constitutionnel est appelé à se prononcer le 21 septembre, sur la question de la conformité des dispositions de l'alinéa 7 de l'article 521-1 du Code pénal aux droits et libertés garantis par la Constitution. Les audiences, qui se sont déroulées avant-hier, ont permis d’entendre les positions des associations anti-corrida qui portaient cette démarche, et de l’Observatoire français de la Tauromachie, qui défendait les intérêts des villes taurines et des professionnels du secteur et des clubs taurins.      

 

Pour rappel, en France, le fondement légal autorisant les corridas repose sur un alinéa de la loi Grammont, lequel permet le maintien des courses de taureaux lorsqu'une tradition locale ininterrompue peut être invoquée, comme c’est le cas à Nîmes depuis 160 ans. Les Sages du Palais Royal ont désormais la lourde tache de décider de l’avenir ou non de cette tradition, dont nous sommes dans la région si fiers et qui fait vivre de nombreuses personnes.

 

Je veux saluer la démarche de l’Observatoire français de la Tauromachie, qui a mené, via son avocat, mais également son Président André VIARD, une action remarquable et consensuelle, au nom de tous les défenseurs hexagonaux de la tauromachie. Je veux également souligner la prise de position du Gouvernement, qui heureusement n’est pas resté neutre dans ces discussions. Les propos, notamment, de Manuel VALLS, le Ministre de l’Intérieur, démontre, une nouvelle fois, que le combat pour le respect de nos traditions outrepasse les clivages politiques et les sensibilités philosophiques.      

 

Aujourd’hui, je reste totalement vigilant, mais aussi serein, connaissant la sagesse des membres éminents du Conseil constitutionnel, quant à l’issue de cette procédure judiciaire. Il est clair qu’un rejet, par le Conseil constitutionnel, de la question portée par les associations anti-corrida permettrait non seulement de garantir l’inscription de la tauromachie sur la liste du patrimoine immatériel et culturel de la France, mais elle lui donnerait une nouvelle dimension constitutionnelle, que les anti-taurins n’auraient même pas imaginée.   

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31 juillet 2012 2 31 /07 /juillet /2012 17:59

A seulement 20 ans, Yannick AGNEL a su faire preuve d’une très grande maturité en remportant son deuxième titre de Champion Olympique au 200 mètres nage libre. Déjà Champion Olympique la veille au 4x100 mètres, il a, de nouveau, montré qu’il avait soif de gagner, et qu’il avait surtout beaucoup travaillé pour en arriver là !

 

Dès les premiers mètres, il a été absolument irrésistible en prenant la tête de la course, sans jamais baisser de rythme, et pour finir avec une bonne longueur d’avance sur ces adversaires, ô combien déjà performants et médaillés. Une démonstration de force qui ne devrait pas s'arrêter là, je le lui souhaite.

 

Yannick Agnel doit en effet encore s'engager sur le 100 mètres nage libre ainsi que sur le relais 4 x 200 mètres nage libre. L'occasion de tutoyer une nouvelle fois les sommets de la natation mondiale. Bien sûr, j’ai une pensée pour le Nautic Club de Nîmes et André ROUX, ses dirigeants, mais aussi ses entraîneurs, qui fournissent un remarquable travail pour former les champions de demain.

 

Je tiens encore à féliciter ce jeune champion, natif de Nîmes, qui au passage, a réalisé également le record de France. Je serais heureux et fier de pouvoir l’honorer dès son retour des jeux Olympiques, à Nîmes, si toutefois son emploi du temps « médiatique » le lui permet.

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Jean-Paul Fournier