Jeudi 22 août 2013
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Régulièrement les parlementaires discutent des textes sur la sécurité et la politique pénale. Très prochainement j’aurai à me
prononcer sur le projet de loi TAUBIRA qui prévoit notamment la sortie aux deux tiers de la peine, des réductions de peine pour les récidivistes, la suppression du mandat de dépôt obligatoire
pour les récidivistes. Les intentions du gouvernement sont consternantes au regard de la réalité de la délinquance. Mais je me devais de connaitre la réalité de la prison, d’échanger avec
ceux qui y travaillent pour mieux comprendre.
D’abord j’ai visité un établissement très bien tenu malgré ses 40 ans d’âge avec un budget de fonctionnement amputé de 300000 €
cette année. J’ai rencontré une direction et des gardiens qui ont foi en leur mission et dont l’investissement personnel permet d’atténuer la réalité explosive de la surpopulation : 192
places pour environ 350 détenus avec des cellules de 9m² pour trois, dont un détenu qui couche à même le sol.
Doit-on en conclure qu’il faille laisser les délinquants en liberté comme le souhaite le gouvernement ? Ce serait, je crois, la
pire des choses pour la société française. Lorsqu’il y a plus de malades, on construit des hôpitaux ! C’est pareil pour l’autre mal de la société qu’est la délinquance. Démontée par Mme TAUBIRA, la loi de programmation du 27 mars 2012 relative
à l'exécution des peines prévoyait de créer plus de 24. 000 places de prison supplémentaires à l'horizon 2017. Pour porter le total des places disponibles à 80.000. Loin d’être une lubie
sécuritaire, c’était une œuvre de salubrité publique !
Par jean-paul fournier
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Lundi 3 juin 2013
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Le déplacement à Cordoue en vue de la signature de la Charte de jumelage qui devrait intervenir au cours de la Féria des
Vendanges, a été l’occasion de travailler avec les élus de cette commune sur la définition d’actions concrètes entre les deux collectivités. Après une première signature de protocole d’intention
en 2010 et la venue à Nîmes d’une délégation économique de Cordoue en 2011, une nouvelle étape est donc franchie.
En effet, outre les échanges scolaires qui sont souvent le moteur des relations entre villes jumelles, nous avons, avec le Maire
de Cordoue, souhaité que l’accent soit également mis sur le rapprochement touristique, culturel, universitaire et économique.
Dans ce dernier domaine, nous pouvons saluer l’implantation de la première entreprise de la « Ville des Califes »,
puisque Grupo-Puma, spécialisée dans la production de mortiers, adhésifs et systèmes d’isolation notamment va implanter début juin sa filiale française dans les locaux de la pépinière
d’entreprise de Valdegour avant d’installer une unité de production de 8 silos et un entrepôt de 2400 m² sur la Zone du Km Delta (1,5 millions d’euros d’investissement et 11 emplois pérennes
au 1er trimestre 2014)
Le Maire de Cordoue, José Antonio Nieto, sera à Nîmes en septembre pour signer la Charte de jumelage qui comprendra notamment un
volet sur les échanges en matière de recherche archéologique et historique sur la Romanité, le développement des collaborations en matière d’agronomie et la promotion touristique des deux
communes. Ainsi, à l’occasion de la Féria des Vendanges, le Maire de Cordoue a proposé que Nîmes puisse fêter les 50 ans d’alternative d’El Cordobes, en présence du Maestro, avec la
projection en avant première d’un documentaire qui lui est consacré.
Parallèlement, le Festival de Flamenco de Nîmes sera mis à l’honneur lors du concours international de Flamenco qui se déroulera
à Cordoue en octobre prochain. Dans le domaine universitaire, les premiers échanges qui se sont concrétisés par la présence d’universitaires cordouans à Nîmes les 30 et 31 mai de cette année
seront également renforcés. Rendez-vous est donc fixé à la mi-septembre pour la signature officielle de la Charte et la présentation du programme détaillé de notre collaboration.
Par jean-paul fournier
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Vendredi 15 mars 2013
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Je me suis rendu ce matin à la Maison de Santé Protestante de Nîmes (maison de retraite) sur les quais de la Fontaine, en présence de
Marie-Chantal BARBUSSE et Catherine JEHANNO. Monsieur RAUDIN, le Directeur de cet établissement notable m’a fait visiter le chantier en cours de la rue de sauve qui pourra accueillir de nouveaux
résidents d’ici le début de l’année 2014. 4 studios indépendants ont également été conçus pour accueillir des couples plus autonomes.
L’architecte, Monsieur CHAMBON, a prévu tout le confort nécessaire dont ces personnes âgées auront besoin. Situé non loin des
Jardins de la fontaine, ce nouveau projet a été construit selon les nouvelles normes d’accessibilité, et la façade extérieure a été entièrement rénovée. Je me suis rendu ensuite, rue Franklin
Roosevelt où j’ai pu saluer l’ensemble des résidents à l’heure du déjeuner.
Par jean-paul fournier
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Mardi 26 février 2013
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Avec
Dominique GRANIER, Président de la Chambre d’Agriculture du Gard, mais aussi Henry DOUAIS, Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie et de Serge ALMERAS, Président de la Chambre des
Métiers et de l’Artisanat, en présence de Christian BOURQUIN, Président du Conseil régional, j’arpente aujourd’hui la Salon international de l’Agriculture, afin de défendre les filières de
qualité locales, l’excellence des productions gardoises et l’exigence de la qualité et de la traçabilité, mais aussi soutenir les agriculteurs dans leurs magnifiques actions, parfois
délicates.
Par jean-paul fournier
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Vendredi 22 février 2013
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C’est avec beaucoup d’émotion que j’ai rencontré et félicité, hier soir, les enfants du centre social de Valdegour, qui ont remporté les deux projets d’affiche, dans le cadre de
l’opération « Agis pour tes droits », opération créée par l’association les Francas. En tant qu’ancien Infographiste, j’ai pu admirer, aux côtés de Laurent Burgoa, Richard Tibérino et
Rose Da Costa, leur travail et surtout leur talent.
Deux de ces affiches primées par un jury seront ainsi exposées au Parlement européen, et Franck PROUST, Député Européen recevra une quinzaine
d’enfants de Valdegour à cette occasion pour leur faire visiter le Parlement. Ce prix est un bel encouragement par le centre social de Valdegour et son équipe pédagogique qui met à cœur de
proposer des activités à forte plus-value éducative à ces enfants, mais également pour la Ville de Nîmes qui n’oublie pas ses quartiers.
Par jean-paul fournier
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