Cela fait 500 jours que Hervé GHESQUIERE et Stéphane TAPONIER sont otages en Afghanistan. En ce jour de triste anniversaire, je ne peux qu’avoir une pensée émue pour ces deux journalistes, qui ont été enlevés dans le cadre de l’exercice de leur métier. La communauté nationale doit rester unie pour faire libérer ces otages et montrer qu’elle est à leurs côtés dans cette douloureuse épreuve.

Plus largement, cette longue captivité doit nous faire réfléchir sur l’état de la liberté de la presse à travers le monde et sur le droit à une information claire et objective pour le grand public. En effet, la liberté des communications est un acquis précieux. Elle est en France un droit constitutionnel inscrit à l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789.

Notre combat commun pour libérer ces deux hommes est donc intimement lié à celui que nous devons continuer à mener pour faire de l’information un bien universel.

 Parallèlement, nous devons avoir une pensée globale pour l’ensemble de nos compatriotes, otages à travers le monde.