Comme beaucoup d'entre vous, je m'intéresse aux JO de Pékin et suis plus particulièrement les performances de nos représentants.
Après les déceptions causées par les échecs, entre autres, de Laure Manaudou, Laura Flessel, Tony Estanguet ..., j'ai naturellement vibré en suivant le 100 mètres d'Alain Bernard. Cette médaille d'or pèse d'autant plus lourd que la concurrence était forte. Le succés de l'Antibois dans l'épreuve- reine de la natation démontre que les sportifs français, contrairement à une idée trop largement répandue, sont aptes à assumer le rôle de favoris. Alain Bernard, certes, s'était préparé magnifiquement en vue de ces Jeux. Mais, il avait aussi une énorme confiance en ses moyens.
Il reste à espèrer que sa victoire donne des idées aux autres Tricolores encore en lice dans les différentes disciplines. Je souhaite aussi que le comportement psychologique d'Alain Bernard sorte du bassin olympique et gagne plus généralement nos compatriotes. Nous avons en effet besoin de croire en nos possibilités, de considérer l'avenir positivement, de sortir d'une frilosité qui confine au fatalisme. On peut toujours gagner, même quand les vents ne sont pas toujours favorables. Encore faut-il le vouloir.
Après les déceptions causées par les échecs, entre autres, de Laure Manaudou, Laura Flessel, Tony Estanguet ..., j'ai naturellement vibré en suivant le 100 mètres d'Alain Bernard. Cette médaille d'or pèse d'autant plus lourd que la concurrence était forte. Le succés de l'Antibois dans l'épreuve- reine de la natation démontre que les sportifs français, contrairement à une idée trop largement répandue, sont aptes à assumer le rôle de favoris. Alain Bernard, certes, s'était préparé magnifiquement en vue de ces Jeux. Mais, il avait aussi une énorme confiance en ses moyens.
Il reste à espèrer que sa victoire donne des idées aux autres Tricolores encore en lice dans les différentes disciplines. Je souhaite aussi que le comportement psychologique d'Alain Bernard sorte du bassin olympique et gagne plus généralement nos compatriotes. Nous avons en effet besoin de croire en nos possibilités, de considérer l'avenir positivement, de sortir d'une frilosité qui confine au fatalisme. On peut toujours gagner, même quand les vents ne sont pas toujours favorables. Encore faut-il le vouloir.
par jean-paul fournier